Louise de La Haye Saint Hilaire

Doctorante en Géographie agricole au sein d’INRAE UR ASTER et UMR SADAPT, Université Paris Saclay.

En thèse depuis octobre 2019 à INRAE (UR Aster et UMR Sadapt), Louise de La Haye Saint Hilaire travaille sur la co-évolution de l’organisation spatiale des systèmes de production et des intermédiaires des systèmes agri-alimentaire en Lorraine. Son travail de thèse articule des approches quantitatives et qualitatives pour caractériser les dynamiques des filières agricoles à l’échelle des territoires régionaux.

Elle occupe par ailleurs les fonctions de chargée de mission Relations Internationales au sein du bureau du CNFG pour le mandat 2020-2024.

Au sein de notre équipe elle s’occupe de l’animation du comité d’organisation, des aspects organisationnels et financiers et des relations avec le CNFG.

Julien Gautier

Agrégé de géographie et doctorant en géographie de l’environnement au sein du laboratoire CEDETE de l’Université d’Orléans (EA 1210). La thèse est encadrée par M. Laurent TOUCHART et M. Pascal BARTOUT et s’intitule “La place de la frontière pour les lacs naturels transfrontaliers : gestion et représentation de la “frontière limnique” pour les sociétés riveraines”.

Il travaille sur le lien qu’il est possible de faire entre la limnologie et la géopolitique par l’intermédiaire de l’étude des frontières lacustres et de leur impact sur la vie des populations riveraines. Par la proposition du concept de “frontière limnique”, il tente d’apporter une nouvelle dimension épistémologique afin d’adopter la démarche la plus transdisciplinaire et géographisée possible. Ses terrains d’étude se centrent notamment sur le lac Peïpous et le lac Léman. Il a notamment récemment communiqué sur la frontière du lac Peïpous lors des Doctoriales Sciences Sociales de l’Eau au Centre des Etudes Supérieures de Châteauroux en septembre 2021. Un article est en préparation sur le sujet.

Il intervient, au sein de l’équipe, sur la partie scientifique et la partie communication.

Marianne Petit

Doctorante en Géographie commerciale au laboratoire Discontinuités, Université d’Artois (Arras).

Elle est encadrée par Bernard Reitel et Nicolas Lebrun. Sa thèse s’intitule : “Les dynamiques des centres-villes marchands des ʻvilles moyennesʼ dans les régions fortement urbanisées. Situations urbaines dans les Hauts de France et en Belgique ”. Marianne Petit s’intéresse plus particulièrement à la géographie commerciale, aux villes moyennes et aux notions de centralité, de dynamiques urbaines et d’aménagement du territoire. Récemment, elle a communiqué aux doctorales de Poitiers et aux journées de l’IFD (Institut des Frontières et des Discontinuités). Elle est aussi intervenue dans une table ronde pour un colloque sur la cohésion des territoires qui donnera lieu prochainement à une publication d’un ouvrage collectif. Actuellement, elle prépare en collaboration avec l’un de ses directeurs de thèse, un article en vue d’une publication d’un ouvrage de la commission commerce du CNFG et elle organise une session de communication dans le cadre de L’UGI 2022 de Paris.

Au sein de notre équipe elle s’occupe du pôle communication.

Robin Lesné

Docteur en Aménagement de l’espace et urbanisme de l’Université du Littoral Côte d’Opale, chercheur associé au laboratoire Territoires, Villes, Environnement & Société (TVES - ULR 4477)

Dans son travail, Robin Lesné développe sa réflexion autour de l’idée de la ville récréative. Il se concentre sur les pratiques récréatives urbaines, du côté des activités et de leurs adeptes comme des questions d’aménagement de l’espace et de politiques publiques. Son approche est qualitative, inscrite en géographie sociale, culturelle et des loisirs et focalisée sur l’échelle micro de l’urbanisme.

Il occupe par ailleurs la fonction de chargé de mission Manifestation et Communication au sein du bureau du CNFG pour le mandat 2020-2024.

Au sein de notre équipe, il se concentre sur le volet scientifique de l’animation du réseau et apporte sa contribution sur les aspects financiers et relationnels avec le CNFG.

Sophia Verguin

Doctorante en Géographie du commerce aux laboratoires ESO Le Mans (UMR 6590) & CERILAC (URP 441)

Sophia Verguin, architecte DE HMONP, établit sa recherche dans le cadre d’une convention CIFRE en collaboration avec l’agence d’architecture et d’urbanisme ARTE charpentier architectes depuis novembre 2020. Son sujet de thèse intitulé « Le centre commercial de demain : une centralité en devenir ? S/Chopping malls, La nouvelle fabrique de la cité » interroge les modalités de renouvellement des espaces commerciaux. Le travail de Sophia Verguin porte également sur l'épistémologie des disciplines ayant pour objet l’espace (architecture, géographie) ainsi que sur les approches d’application du développement durable au milieu de la construction dans les processus de gestion de projet.

En décembre 2021, Sophia Verguin a coorganisé la journée d’étude « Le doctorat Cifre et la recherche par le projet » à l’ENSA Paris Val de Seine et a animé la table-ronde « La recherche du point de vue des agences d’architecture ».

Au sein de notre équipe, elle s’occupe des aspects financiers et de la liaison avec le comité d’organisation locale.

Julie Trémoureux

Doctorante en Géographie et Sociologie au sein du laboratoire Espaces et Sociétés (ESO), UMR 6590, Le Mans. Sa thèse est encadrée par M. Arnaud GASNIER et M. Jean-Philippe MELCHIOR et s’intitule « La réussite à l’Université en cycle de Licence au prisme d’une innovation pédagogique (Thélème) et des effets socio-territoriaux de la pratique étudiante : étude des universités du Mans et d’Angers ».

Afin de saisir et retransmettre toute la richesse de ce sujet d’étude transversal aux domaines de la Géographie et de la Sociologie, Julie s’attache à créer un outil d’évaluation de la qualité du parcours étudiant, élaboré à partir du croisement dec données qualitatives et quantitatives. A cet égard, elle s’inscrit dans une logique de mixed-methods research. Si la pratique n’est pas nouvelle en Sciences Humaines et Sociales, elle est encore timide dans les travaux portant sur l’enseignement supérieur. C’est pourquoi ce nouvel outil a été introduit à la communauté scientifique à l’occasion d’une journée d’étude organisée par le Mans Université et intitulée « L’évaluation, pour quoi faire ? », qui donnera également lieu une contribution pour un ouvrage collectif. Les travaux ont également été présentés dans le cadre du colloque RESUP « La construction des inégalités dans l’enseignement supérieur et à la recherche » à l’ENS de Lyon en octobre 2021.

Au sein de l’équipe, Julie fait partie du comité d’organisation local de Le Mans Université, en charge du bon déroulement de l’évènement dans l’établissement d’accueil.

Jeanne Perez

Doctorante en Géographie et Rudologie (gestion des déchets) au sein de deux laboratoires de recherches à l’Université du Mans : laboratoire Espaces et Sociétés (ES0) et l’Institut des Molécules et Matériaux du Mans (IMMM).

En première année de thèse depuis octobre 2021, Jeanne Perez s’intéresse particulièrement à la circulation en fin d’usage de certaines résines plastiques issus des produits et emballages ménagers français. Ce sujet de thèse se veut interdisciplinaire par la connexion des domaines de la géographie et de la chimie qui permettent une analyse quantitative et qualitative des dynamiques de la filière des plastiques au niveau national français.

Au sein de notre équipe, elle intervient au niveau du pôle d’organisation local du Mans.

Anna Keitemeier

doctorante en architecture, urbanisme et environnement au sein du laboratoire « Architecture, Milieu et Paysage » à l’École d’architecture Paris la Villette, École doctorale Abbé Grégoire, Conservatoire nationale des arts et métiers (Co-direction Corinne Luxembourg et Co-Encadrement Rosa De Marco) et à l’Institut de Technologie de Karlsruhe (Co-Direction Henri Bava).

Dans son projet de thèse, Anna aborde la question des limites et des discontinuités dans l'espace public contemporain dans les métropoles européennes Paris, Berlin et Rome. Elle traite cette question, dans le contexte politique, socio-spatial et culturel, à partir l'étude des clôtures et des délimitations spatiales, matérielles et idéelles des parcs urbains réalisés dans les années 1980.

La question de la production de la connaissance dans la recherche sur l’espace et sur les matériaux est fondamentale dans ses recherches. S’interrogeant sur « l’atlas » comme démarche méthodologique, elle va publier dans peu son article dans la revue « Dimensions. Journal of Architectural Knowledge».

Au-delà de son travail de recherche, Anna s’engage dans plusieurs réseaux internationaux. Actuellement, elle est élue membre au Bureau des Résidents de la Cité internationale universitaire de Paris.

Au sein de l’équipe, elle est en charge des réseaux internationaux et des traductions.

L'organigramme